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J
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jambage (de jambe, du bas lat. gamba " jarret du cheval, patte " gr. Kampé). |
1. Hampe descendante, ou " queue de lettre ". 2. Trait vertical d’une lettre. Exemple : les 3 jambages du m. Janson |
Police de caractère créée en 1694 par Anton Janson, restaurée en 1970 par Nicholas Kis. Cette police appartient à la famille des Garaldes. Les Garaldes sont l’interprétation royale, humaniste et galante de la graphie latine transposée de la pierre sur le papier. La noblesse des proportions, le galbe des courbes, la gaieté des jambages, la délicatesse de l’empattement incisé en font le chef-d’oeuvre du dessin. |
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Jaquette (de l’anglais jacket, "couverture") |
Seconde couverture en papier, souple et amovible, repliée sous les plats de la (première) couverture d’un livre relié ou broché et destinée à protéger celle-ci. Son rôle d’accroche commerciale est aujourd’hui très important, dans la mesure où la jaquette est supposée provoquer un achat dit " d’impulsion ". Elle est ainsi parfois assimilée à une démarche publicitaire. Selon les maisons d’édition, les couvertures et jaquettes relèvent soit du service éditorial, soit du département commercial ou même de la publicité. En termes de composition, la typographie et le graphisme utilisés pour la jaquette peuvent, ou non, être identiques à la couverture. Le papier dit " couché une face " est généralement destiné à l’impression des couvertures d’ouvrages cartonnés et des jaquettes. Enfin, le pelliculage, quoique plus onéreux que le vernissage, permet de conférer à la couverture ou à la jaquette un vrai effet de brillance qui rehausse l’impression. |
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jeter du blanc |
Accroître l’intervalle entre les lettres, les mots d’une ligne, les lignes, les alinéas, les paragraphes, entre le titre et le reste du texte etc., afin d’aérer une composition et rendre ainsi une page plus facile à lire et plus harmonieuse.(Synonymes : blanchir, mettre du blanc). |
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Juliana |
Police de caractère créée en 1958 par S.L. Hartz. Ces caractères à empattements sont assez étroits, élégants. |
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justification (abréviation : justif). |
Longueur des lignes pleines d’un texte, définie par le nombre de caractères d’un type donné qu’elle contient. Une justification favorable à la lecture comporte de cinquante-cinq à quatre-vingt signes. Les lignes trop longues exigent de l’œil un effort de va-et-vient trop intensif, les lignes trop courtes entraînent des coupes abusives. |
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justifié |
Se dit d'un texte aligné à la fois sur les marges de gauche et de droite. |
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