LE DICTIONNAIRE DE L'EDITION de Cose-Calcre

 
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balayage récurrent (ou balayage télévision) n. m.

Technique d’enregistrement d’image ligne par ligne en balayages horizontaux sur toute la zone imprimante. 

 

bandeau n. m

1. Édition Apparu en Europe au XIIe s. après avoir été développé en Chine, puis couramment utilisé au XIVe s., le bandeau était un ornement xylographique de forme rectangulaire s’étalant sur la largeur de la page, au début d’un chapitre. 2. Bande de papier entourant un livre, portant un texte destiné à sa promotion. 3. Presse Placé en haut de la manchette (emplacement le plus haut de la page d’un journal ou d’un magazine), le bandeau se situe au-dessus du titre auquel il ne se réfère pas, et renvoie à un article, généralement composé en page intérieure. 

 

bas de casse abrév. : bdc.

1. Au fém. une « bas de casse ». La bas de casse est une lettre dite minuscule (du lat. minusculus, de minor, plus petit), par opposition aux majuscules (du lat. majusculus, de major, plus grand). 2. Typo. Terme répandu dans les milieux professionnels de l’édition, de la presse et des arts graphiques, spécifiquement utilisé par les typographes, désignant les caractères rangés dans les cassetins situés en bas de la casse (V. casse), par opposition aux capitales (du lat. capitalis, de caput, tête) placées en haut. Au masc. un « bas de casse », ensemble des cassetins où sont groupés les lettres dites minuscules, les chiffres, les ponctuations, les accents, les blocs servant à composer les blancs et les filets. 3. Hist. La capitale, formelle ou cursive (respectivement IIe et Ier s. av. J.-C.), a évolué pour donner naissance à l’onciale (vers le IVe s. apr. J.-C.) dont la lettre e, par exemple, figure déjà la fermeture et la courbe de certaines minuscules. Une étape importante est franchie entre le Ve et VIe s. apr. J.-C. avec l’apparition de la semi-onciale qui comporte dans son alphabet un mélange de ce qui s’appellera plus tard minuscule et majuscule, mais dont les tailles ne sont pas encore différenciées. Au VIIIe s., l’arrivée de la caroline (de Carolus, Charlemagne) marque absolument le schéma de base de nos lettres minuscules, en ce qu’elles s’opposent aux dessins antérieurs des majuscules, dites capitales dès l’époque romaine. Cette évolution s’inscrit au moment de la grande réforme de l’écriture et de la normalisation de tous les alphabets. 

 

bas de page ou blanc de pied

Partie inférieure d’une page, débutant sous la dernière ligne du texte et destinée à en aérer la présentation. Elle est généralement plus grande que la partie haute dite « blanc de tête ». Le bas de page obéit à des règles typographiques : il doit être lisible et ses dimensions doivent être constantes tout au long de l’ouvrage. Le bas de page peut comporter la numérotation des pages, mais aussi des notes, fréquemment utilisées dans les ouvrages techniques ou scientifiques et séparées du texte par un filet. Les notes sont appelées dans le texte par des chiffres en indice et font référence à l’auteur d’une citation, indiquent les références de l’ouvrage cité, ou expliquent un terme précis. La note de bas de page a ainsi une valeur indicative ou explicative. Elle est composée dans un corps inférieur à celui du texte courant, en bloc, sans interligne. L’éditeur veillera à ce qu’elle ne déséquilibre pas l’ensemble de la page. 

 

Baskerville (John)

Imprimeur anglais (Wolverley, comté de Worcester, 1706 – Birmingham, 1775). Fondeur, graveur du caractère qui porte son nom et inventeur du papier Velin (1750). Après avoir été maître d’écriture et vernisseur à Birmingham, il entreprend vers 1750 de dessiner un nouveau type de lettres très géométrisées, accusant les pleins et les déliés. Avec le papetier James Whaturan, il met au point le papier Vélin, en remplaçant les vergeures par une toile métallique très fine, qui permet de fabriquer un papier d’une texture plus homogène et offrant une bonne aptitude à l’impression. Il le rend aussi plus lisse en le faisant passer sous des plaques chauffées. Il invente même une formule d’encre pour son usage personnel. Son premier ouvrage imprimé, un « Virgile » in-quarto, fait sensation en Europe en 1757. Il réalise, en 1763, une Bible in-folio somptueuse ainsi que plus de cinquante ouvrages entre 1757 et 1774. Après sa mort, en 1777, ses caractères servent à l’impression des œuvres complètes de Voltaire pour le compte de la société littéraire et typographique de Beaumarchais, qui s’en est porté acquéreur en 1779. Après la révolution de 1789, Beaumarchais installe la fonderie Baskerville à Paris et l’utilise pour composer la Gazette nationale. La famille Didot récupère les matrices avant qu’elles ne soient enfin achetées par Charles Peignot qui en fait don à la Cambridge University Press en 1953. Les caractères Baskerville sont encore très utilisés. Lors de l’avènement de la Lumitype chez Berger-Levrault en 1957 (à Nancy), le « Baskerville » fut remis à l’honneur. 

 

Baskerville

1. Typo n. déposé. Caractère typographique à fort contraste entre les pleins et les déliés, très bien proportionné. 2. Encycl. Ses empattements triangulaires curvilignes très fins, ajoutés au caractère "romain du roi" dont il est issu (créé par Grandjean en 1693, pour l’usage privé de Louis XIV), le font appartenir à la famille des Didots. Cependant, les Didots étant caractérisés par leur empattement filiforme, certains le classent parmi les Réale (classification Vox, correspondant aux Elzévirs dans la class. Thibaudeau). Apparu au xviiie s. grâce à l’amélioration des presses et de la qualité des papiers, rendant possible son impression dans toutes ses finesses, il est l’œuvre de John Baskerville. Le Baskerville, perçu comme un Didot, "correspond au style classique rigoureux du siècle de Louis XIV où l’on s’inspirait de l’art grec. […]. Il est conseillé pour des articles réclamant un aspect froid, classique et solennel, et, en histoire, pour toute période qui va du classicisme au romantisme." (Manuel de secrétariat de rédaction, Louis Guéry, CFPJ, 3e éd., 1986). Aujourd’hui, le caractère Baskerville est principalement utilisé dans la composition des textes classiques. Les fonderies H. Bertold AG (fondée à Berlin en 1858) et ITC (USA) sont actuellement les deux principaux fondeurs de la police Baskerville. 

 

bâtarde ou italienne. n. f. et adj.

1. Typo. Nom commun désignant une écriture manuscrite : la « bâtarde ». 2. Encycl. Développée sur le modèle d’écriture latine cursive, la bâtarde, à jambages pleins et aux liaisons arrondies, légèrement inclinée, est une écriture manuscrite intermédiaire dérivée de la gothique cursive du XIII-XIVe s. et de la baroque du XVIe s. Elle apparaît en même temps que la ronde (ou « française ») et la coulée (ou dite « de permission ») au XVIIe s. Elle donnera naissance à la « hollandaise » puis à « l’anglaise », respectivement aux XVIIIe et XIXe s., puis aux cursives modernes au début du XXe s. La bâtarde, la ronde et la coulée font partie de la famille des cursives classiques. Dans les classifications Vox et Thibaudeau, la bâtarde appartient à la famille supérieure des scriptes

 

bâton

1. Typo. Type et famille de caractères. Désigne des caractères typographiques simples, reconnaissables à leur absence d’empattement, et ne comportant ni pleins ni déliés. 2. Encycl. En France « antique » et « bâton » désignent la même famille de caractères (classification Thibaudeau). En Grande-Bretagne, l’appellation équivalente retenue est « sans serif », c.-à-d. sans empattement 

aux USA « gothic », le terme ayant une acception différente voire opposée à la terminologie typographique française

en Allemagne « grotesk ». La classification Vox de l’Association Typographique Internationale retient l’appellation « linéale ». Inspirés de l’écriture lapidaire grecque (IIe s. av. J.-C.), se distinguant des formes calligraphiques, les premiers caractères fondus dits « bâtons » sont apparus en 1816, mais leur utilisation n’a été réellement effective qu’au début du XXe s., le XIXe s. leur ayant préféré des caractères souvent plus contournés, voire fantaisistes jusqu’à devenir difficilement lisibles. Les caractères bâtons ont ainsi marqué la fin d’une typographie jugée décadente, et ont accompagné une évolution esthétique marquée par la rigueur du début du siècle, comme le cubisme. Ils peuvent se composer avec toutes les familles de caractères, fréquemment avec les Elzévirs, qu’ils complètent en s’opposant et qu’ils mettent en valeur. Ils sont couramment utilisés en titraille dans la presse (titre, intertitre, chapeau etc.), rarement pour l’édition d’ouvrages littéraires. L’Univers, l’Helvetica, le Futura sont des caractères appartenant à la famille des bâtons

 

baveux

1. Imprimerie Se dit d’un papier imprimé avec une quantité excédentaire d’encre par rapport à sa capacité d’absorption. Le contour des lettres devient alors flou et impropre à la lecture. 2. Se dit des caractères d’un texte dans les mêmes conditions. Par analogie une encre baveuse est une encre trop liquide et qui gêne ainsi l’impression. 

 

bavure

Macule, tache qui se fait au cours d’une impression sur une épreuve. 

 

becquet ou béquet n. m.

Mot emprunté au vocabulaire des cordonniers (morceau de cuir joint à la semelle). 1. Typo. Languette de papier portant un texte ou une illustration, que l’on joint à une épreuve pour indiquer une correction. 2. Impr. Hausse en papier que l’on colle sous la feuille de mise en train pour faire ressortir certains caractères jugés trop faibles. Composition de quelques-unes de ces lignes. 

 

belle page

Page de droite d’un ouvrage, qui porte donc un numéro impair. En début d’ouvrage, les pages de référence (page de faux-titre, page de titre) sont toujours placées en belle page. Les titres de chaque partie ainsi que le début du texte, les ouvertures de chapitre, les illustrations pleine page… sont de préférence placés en belle page. En revanche, on évite à tout prix d’avoir une page blanche en belle page. Synonymes : recto, page impaire, bonne page. 

 

Bembo

1. Nom propre Pietro Bembo (1470-1547) Cardinal et humaniste italien, né à Venise. 2. Typo. Bembo n. déposé. Caractère typographique à empattement fin, appartenant à la famille des Elzévirs. Apparu après 1890, et refondu par la Monotype Corporation PLC vers 1923, sa réutilisation fait partie d’un programme important de développement, dirigé par Stanley Morison et visant à répondre à une demande croissante pour des caractères de plus en plus variés 

 

Ben day

Procédé employé jusqu’à la dernière guerre en lithographie et en photogravure typographique pour enrichir des dessins ou des cartes de points, lignes, grains etc. Ce procédé, qui doit son nom à Benjamin Day qui l’imagina en 1896, était très utilisé à l’époque pour l’illustration des journaux d’enfants et la bande dessinée. Il a été remplacé depuis, en photogravure offset et typographique, par des copies constituées de trames offrant la même variété de grisés. On trouve aussi du benday en couleur : chaque zone colorée est tramée (à un taux qui varie selon le résultat recherché) dans une, deux ou trois des couleurs primaires et en noir, ce qui permet d’obtenir un nombre considérable de tons et de valeurs différents, mais sans possibilité de dégradés. On obtient ces effets par le report de motifs, faits à l’encre en relief sur une pellicule de gélatine, sur la plaque de métal qui est ensuite gravée. 

 

Bible

Papier de faible grammage (poids au m2) entre 25 et 35 g/m2. Ce papier, très mince mais solide, rend l’impression possible grâce à son opacité. Les reproductions en similis ou en quadrichromie sont réalisables. Le papier bible est notamment utilisé pour les ouvrages de la collection La Pléiade de Gallimard. 

 

bible à 42 lignes, dite "Bible de Gutenberg"

Premier livre imprimé en Europe, à Mayence. Appelée également "Bible Mazarine" en hommage au cardinal Mazarin. Il s’agit d’une oeuvre colossale de 1290 pages dont les caractéristiques sont l’impression du texte sur deux colonnes, chargées chacune de 1310 lettres et comportant 42 lignes, soit un total de 3,35 millions de signes. Le texte est celui de la version classique de l’époque, établie au XIIIe siècle à l’Université de Paris et légèrement adaptée dans les manuscrits rhénans du XIVe siècle. 

 

bichromie

Impression en superposition repérée de deux clichés du même document. La bichromie est toujours affaire de photogravure. On recense trois types de bichromies :

- les bichromies utilisant deux noirs "froids" différents (ou un noir et un gris) améliorent la qualité d’un simili classique et sont souvent imperceptibles pour un observateur non averti 

 

- les bichromies associant deux couleurs (mais pas de noir) utilisent souvent des couleurs complémentaires l’une de l’autre. Dans ce cas, un mélange astucieux peut permettre, par superposition, l’obtention d’un ton proche du noir et donc un effet de trichromie.

- enfin, les bichromies utilisant un noir et une couleur vive, à ne pas confondre avec l’impression d’une similigravure sur un fond de couleur uniforme. 

 

biffer (1576, de l’anc. fr. biffe "étoffe rayée")

Rayer, barrer ce qui est écrit. Synonymes : annuler, corriger, effacer, raturer, supprimer. 

 

blanc de tête

Marge blanche fixe en haut d’une page. La mesure de la hauteur du blanc de tête se calcule en retranchant de la largeur du papier celle de la justification (largeur occupée par le texte). De la valeur ainsi obtenue sont affectés les 5/10e à la marge de tête. Le calcul de la rotation des blancs, dits blancs tournants, attribuera de la même façon, en répétant l’opération, l’équivalent des 4/10e de cette valeur au blanc de couture (ou blanc de petit fond), les 6/10e au blanc de grand fond (situé au bord extérieur) et les 7/10e au blanc de pied. 

 

blancs

Dans une ligne ou sur une page imprimée, ce sont les parties non imprimées du papier qui permettent d’aérer la composition (marges de tête, de pied et latérales, qui correspondent selon le cas aux blancs de tête, de pied ou de grand fond). Dans la pratique typographique, les blancs sont les éléments non imprimants d’une composition dont la hauteur est inférieure à celle des caractères. Espace, le blanc se place entre les mots 

demi-cadratins, cadratins et cadrats sont des espaces plus larges qui ont pour fonction de créer un alinéa ou de terminer une ligne creuse. Plus important, le lingot complète l’emplacement d’un chapitre qui se termine avant la fin de la page. Dans un encadré, le blanc séparant les filets du texte est dit "de couchage". Quant aux blancs de marge, ils servent à espacer les pages entre elles. De l’emploi des blancs viennent les expressions :

- feuille de blancs : épreuve de contrôle du format d’impression, destinée à la vérification du placement des éléments imprimants dans la feuille 

- feuille en blanc : feuille imprimée d’un seul côté 

- machine en blanc : machine qui n’imprime que d’un seul côté à la fois par passage 

- tirer en blanc : imprimer d’un seul côté. 

 

bleu (blueprint ou ozalids)

Épreuve contact sur papier, habituellement bleu-violet, faite à partir de films. Cette épreuve sert à la vérification avant impression du positionnement des feuillets et des illustrations. 

 

bloc

1. En PAO (publication assistée par ordinateur), un bloc est un ensemble de lignes, de paragraphes ou d’éléments graphiques manipulés de façon solidaire dans un logiciel de traitement de texte ou de mise en page. 2. On appelle aussi "bloc" l’assemblage solidarisé par encollage ou couture des cahiers qui constituent un livre, avant la pose de la couverture. 3. Enfin, le "bloc support" désigne la base en bois ou en métal qui supporte un cliché d’impression typographique. 

 

Bodoni (Giambattista)

Imprimeur et graveur de poinçons italien (Saluces, 1740 – Parme, 1813). Il fut directeur de l’imprimerie du duc Ferdinand de Parme. Grâce à son puissant mécène, il ne tarda pas à dessiner, puis à fondre ses propres caractères, dont un spécimen fut publié dès 1771. En 1788, Bodoni présenta, dans la première édition du Manuale typographico, un échantillon de caractères aux pleins et aux déliés finement contrastés. Il s’agit du Bodoni, un caractère moderne qui ne tarda pas à détrôner le Didot. Les ouvrages imprimés par Bodoni présentent tous les mêmes caractéristiques techniques : une composition aérée, des titres parfaitement équilibrés, une mise en page harmonieuse, réservant des marges généreuses. Bodoni grava 60 000 poinçons et imprima 1 400 titres. Son art typographique culmina au plus haut degré de perfection dans les éditions de classiques grecs, italiens, latins et français : les éditions d’Horace (1791), de Virgile (1793), de l’Iliade (1803-1810), celles de Boileau et de La Fontaine (1814). Un très grand nombre de copies de caractères de Giambattista Bodoni sont encore utilisées. Ses collections de poinçons et de matrices sont conservées au musée Bodoni à Parme. 

 

bon à graver

Étape qui intervient entre le bon à tirer (ou B.A.T.) et le bon à rouler. C’est une autorisation donnée par l’éditeur à l’imprimeur pour les films d’une photogravure. 

 

bon à rouler

Autorisation donnée par l’imprimeur pour réaliser un tirage sur la machine quand les dernières corrections du bon à tirer (ou B.A.T.) ont été faites. 

 

bon à tirer (ou B.A.T.)

1. Dernière épreuve d’un ouvrage qui est renvoyée à l’imprimerie pour indiquer que le tirage peut avoir lieu. Le bon à tirer doit toujours être daté, signé et porter le chiffre du tirage. 2. Formule d’acceptation portée par le client sur une épreuve, indiquant à l’imprimeur qu’il peut effectuer la composition, la gravure et le tiragebonnes feuilles. 

 

Bookman (ou Antique Old Style)

Caractère d’imprimerie fondu originellement pour servir de style gras à l’Old Style de Miller et Richard. Apparu en 1925 à Ludlow, ce caractère a aussi peu d’ancêtres que de dérivés. Le haut de casse est doté de lourds empattements et de légères différences d’accents. Les empattements de bas de casse sont épais et inclinés plus franchement en Old Style. L’italique est un romain penché. 

 

bouffant

Papier brut de machine ou légèrement apprêté, dont la main est comprise entre 1,9 et 2,4. Le bouffant sert surtout à l’impression des textes et des illustrations au trait. Il donne de l’épaisseur à l’ouvrage, mais accepte mal les reproductions en similigravure. 

 

bourdon (de bourde)

Lors de la composition d’un texte, omission d’un mot, d’une phrase, d’un paragraphe ou d’un morceau entier du texte, gênant sa compréhension. 

 

broché

Se dit d’un ouvrage à couverture souple dont les cahiers sont maintenus par couture et collés à la couverture. 

 

bromure

Papier photographique. Par extension, épreuve photographique d’un document obtenue après photocomposition ou photogravure. Le bromure permet grâce à des collages de réaliser des montages ou de faire des corrections.